La ballade de l'impossible

Mercredi dernier, je suis descendue à Montréal avec les autres élèves du programme des arts et des lettres dans le but d'aller voir un film qui était présenté au Festival du Nouveau Cinéma. Ce film, La ballade de l'impossible, est un film réalisé au Japon par un réalisateur vietnamien. J'ai énormément apprécié ce film haut en couleur, car les rebondissements nous amenaient plus loin dans l'histoire qui, selon moi, nous permettaient de mieux comprendre comment les jeunes japonnais des années 60. Les acteurs nous amenaient profondément dans l'esprit de leur personnage. C'est l'une des raisons pour laquelle j'ai aimé ce film. J'ai apprécié le fait que La ballade de l'impossible soit restée dans sa langue originale ce qui a permis de conserver l'émotion que les acteurs mettaient leur voix, ce qui approfondissait la tension qui règnait dans l'atmosphère. 

Recontre avec les membres du FNC

J'ai trouvé la rencontre avec les directeurs du FNC très constructive. J'ai découvert combien il y avait de films qui ne pouvaient pas se faire diffuser à cause de nombreuses compagnies qui ne pensent qu'à l'argent. J'ai également appris que le Festival du Nouveau Cinéma allait chercher partout des films même s'il s'agit de réalisateurs moins connus. J'ai aimé apprendre que le FNC projetait également des films d'animations même s'il n'en présente que cinq ou six. J’ai apprécié le dynamisme des directeurs lorsqu’ils répondaient à nos questions et leur enthousiasme dans leur travail. Ce que je trouve intéressant et nouveau dans le principe du FNC, c’est qu’il va chercher des films dans des pays dont nous n’entendons presque pas au Québec comme le Japon, l’Inde et bien d’autres pays.